[WAB] La bataille des parapluies (?) (3 avril 2010)
Dim 04 Avr 2010, 12:35
Apprenant qu'un fort contingent de gueux anglais menés par un comte d'Essex et quelques chevaliers passaient par son domaine, un seigneur français vint lui couper la route et se mis en travers de son chemin...
Pilou et Ryuuk, je vous laisse raconter tout ça en citant mon message, vous pouvez récupérer les photos qui vous intéresse. J'espère que vous le ferez, c'est plus sympa, plutôt que je le fasse à chaque fois.
j'espère les avoir mis à peu près dans l'ordre chronologique, à vous de jouer !
Trouver le nom de la bataille aussi !
Pilou et Ryuuk, je vous laisse raconter tout ça en citant mon message, vous pouvez récupérer les photos qui vous intéresse. J'espère que vous le ferez, c'est plus sympa, plutôt que je le fasse à chaque fois.
j'espère les avoir mis à peu près dans l'ordre chronologique, à vous de jouer !
Trouver le nom de la bataille aussi !
- RyuukTueur de Nain
- Date d'inscription : 24/03/2008
Age : 33
Localisation : Saint-Nazaire
Re: [WAB] La bataille des parapluies (?) (3 avril 2010)
Ven 09 Avr 2010, 20:20
La Bataille des Parapluies (hein? Comment ça aucun rapport? ).
Après de maigres collations, les troupes se mirent en marche, rangeant lames et flèches. Apprenant la venue de contingents français non loin, l'avant-garde anglaise décida de les intercepter, privant de renforts ce royaume vil et couard qui guerroyait à une dizaine de miles.
Les cavaleries françaises évitèrent de nombreuses flèches, ces fourbes étant hors de portée. Saisissant un moment de répis, ils foncèrent droit de devant, prenant les anglais au dépourvu qui tentèrent de les encercler.
Malgré un évident peloton d'exécution, les pourceaux de cavaliers ne s'enguichèrent point de leurs pertes, tant grâce à leur supériorité numérique.
L'unique cavalerie anglaise dépêchée se hâta de traverser le champ de bataille afin de prendre les cavaliers ennemis de flanc.
Les français n'étaient plus qu'à quelques mètres des archers anglais. Quand bien même les premiers ajustèrent l'axe de leurs lances pour piétiner les derniers (s'entichant des pieux placés à leur encontre). Mais au dernier moment, une volée de flèches meurtrières vint à bout des plusieurs écuyers, ce qui eut raison de leur moral et s'enfuirent si près du but! Chicken!!!
Pendant ce temps, les cavaleries des deux belligérants s'affrontèrent dans un grand fracas. Chacun transperçant l'autre mais les anglais furent dépassés par l'habilité d'un champion fort impressionnant qui fit rendre gorge à deux chevaliers anglais. Après les lances, puisqu'aucun n'était décidé à céder du terrain, ils en vinrent aux épées.
Sur le flanc opposé, les roturiers anglais furent dispersés par une autre cavalerie. Ces premiers, connaissant le terrain, coururent dans la boue et les terrains accidentés, ce qui ralentit la poursuite des chevaliers.
Leur étendard fut néanmoins capturé.
Le duel de chevaliers se poursuivit et les anglais vinrent à bout de leurs adversaires. (trop) ivres de joie, ils ne remarquèrent qu'ils se trouvèrent en pleine ligne de mire d'arbalètriers ennemis.
Les écuyers francais ne se rallièrent toujours pas, les roturiers anglais quittèrent l'hostilité des combats.
Les arbalètriers génois saisirent l'occasion et criblèrent les chevaliers anglais, tuant les survivants et blessant le général fortement, un carreau enfoncé dans la cuisse.
L'étendard des chevaliers étant à terre, le général anglais décida de se mettre hors de vue des arbalètes, profitant de la cohue engendrée par la fuite des écuyers francais, pour s'y protéger.
Des archers anglais furent pris à l'improviste par des chevaliers francais courroucés et furent mis en miettes sans merci.
Un tocsin lointain mit en arrêt les combats. Le contingent ammoindri francais profita de la confusion de la bataille pour aller prêter main forte à d'autres batailles.
Les deux camps ont soufferts, le sol était jonché de flèches, corps inertes ou presque. Le général anglais observa depuis son abris les troupes francaises s'éloignant au loin dans un nuage de fumée poisseuse...
La revanche n'était plus qu'une question de temps...
Après de maigres collations, les troupes se mirent en marche, rangeant lames et flèches. Apprenant la venue de contingents français non loin, l'avant-garde anglaise décida de les intercepter, privant de renforts ce royaume vil et couard qui guerroyait à une dizaine de miles.
Les cavaleries françaises évitèrent de nombreuses flèches, ces fourbes étant hors de portée. Saisissant un moment de répis, ils foncèrent droit de devant, prenant les anglais au dépourvu qui tentèrent de les encercler.
Malgré un évident peloton d'exécution, les pourceaux de cavaliers ne s'enguichèrent point de leurs pertes, tant grâce à leur supériorité numérique.
L'unique cavalerie anglaise dépêchée se hâta de traverser le champ de bataille afin de prendre les cavaliers ennemis de flanc.
Les français n'étaient plus qu'à quelques mètres des archers anglais. Quand bien même les premiers ajustèrent l'axe de leurs lances pour piétiner les derniers (s'entichant des pieux placés à leur encontre). Mais au dernier moment, une volée de flèches meurtrières vint à bout des plusieurs écuyers, ce qui eut raison de leur moral et s'enfuirent si près du but! Chicken!!!
Pendant ce temps, les cavaleries des deux belligérants s'affrontèrent dans un grand fracas. Chacun transperçant l'autre mais les anglais furent dépassés par l'habilité d'un champion fort impressionnant qui fit rendre gorge à deux chevaliers anglais. Après les lances, puisqu'aucun n'était décidé à céder du terrain, ils en vinrent aux épées.
Sur le flanc opposé, les roturiers anglais furent dispersés par une autre cavalerie. Ces premiers, connaissant le terrain, coururent dans la boue et les terrains accidentés, ce qui ralentit la poursuite des chevaliers.
Leur étendard fut néanmoins capturé.
Le duel de chevaliers se poursuivit et les anglais vinrent à bout de leurs adversaires. (trop) ivres de joie, ils ne remarquèrent qu'ils se trouvèrent en pleine ligne de mire d'arbalètriers ennemis.
Les écuyers francais ne se rallièrent toujours pas, les roturiers anglais quittèrent l'hostilité des combats.
Les arbalètriers génois saisirent l'occasion et criblèrent les chevaliers anglais, tuant les survivants et blessant le général fortement, un carreau enfoncé dans la cuisse.
L'étendard des chevaliers étant à terre, le général anglais décida de se mettre hors de vue des arbalètes, profitant de la cohue engendrée par la fuite des écuyers francais, pour s'y protéger.
Des archers anglais furent pris à l'improviste par des chevaliers francais courroucés et furent mis en miettes sans merci.
Un tocsin lointain mit en arrêt les combats. Le contingent ammoindri francais profita de la confusion de la bataille pour aller prêter main forte à d'autres batailles.
Les deux camps ont soufferts, le sol était jonché de flèches, corps inertes ou presque. Le général anglais observa depuis son abris les troupes francaises s'éloignant au loin dans un nuage de fumée poisseuse...
La revanche n'était plus qu'une question de temps...
Re: [WAB] La bataille des parapluies (?) (3 avril 2010)
Ven 09 Avr 2010, 20:27
Wouah, c'est beau ! Un vrai plaisir de lire ça...
Super boulot Rémi (à part le titre mais bon... ) Encore merci.
Super boulot Rémi (à part le titre mais bon... ) Encore merci.
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